octobre 13, 2021
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L’aménagement d’une cour et d’une terrasse à La Ferté Macé. Découvrez notre dernière réalisation de cour de particulier. Un aménagement depuis l’entrée de la propriété jusqu’à la terrasse. L’ancienne cour était composée d’espaces verts non délimités, de pavés de rue, d’une rampe à l’avant et d’une terrasse en pierre naturelle à l’arrière de la maison. La demande du client était d’apporter un “coup de jeune” à cet extérieur en aménageant une cour carrossable et délimitée, de rendre plus pratiques et plus esthétiques une partie de la cour à l’avant et la terrasse à l’arrière. Suite à plusieurs échanges avec le client afin de répondre au mieux à ses souhaits, nous lui avons proposé un aménagement en enrobé noir depuis l’accès à la propriété, une zone devant la maison en pavés grès multicolores – qui se marient très bien avec le type d’enrobé proposé – et une nouvelle terrasse en pierre naturelle de bourgogne. Choix des matériaux En collaboration avec le client, le choix s’est porté sur des matériaux qui représentent une réelle valeur pratique et esthétique pour ce genre de projet. La possibilité de circuler étant quasi-immédiate après la pose d’un enrobé est un avantage pour des espaces destinés à être utilisés rapidement à l’issue des travaux. L’enrobé se révèle aussi être un bon compromis économique et esthétique, séduisant le plus souvent les particuliers. Les pavés grès et la pierre de bourgogne quant à eux, apportent un contraste et un côté naturel qui différencient les zones piétonnes de la cour et de la terrasse. Ce contraste se trouve amplifié après la pluie qui fait varier les teintes des pavés. Esthétiquement, la pierre de bourgogne avec ses nuances de couleurs allant du beige ou marron clair, du gris plus clair au gris foncé, s’associe parfaitement avec la végétation autour de la terrasse. Les pavés grès, dont les nuances qui vont du beige à l’ocre foncé s’accordent avec un enrobé et ressortent encore plus lorsque celui-ci est noir.
décembre 5, 2017
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Zoom sur les enrobés colorés Les enrobés colorés, très utilisés en milieu urbain, sont de plus en plus employés comme revêtement pour les cours et les allées de particuliers. Il en existe de différentes sortes et de différentes couleurs suivant les granulats et colorants utilisés. Les enrobés colorés ne possèdent pas exactement les mêmes propriétés que l’enrobé noir car la base des composants diffère légèrement (présence d’un liant clair avec moins de bitume). Le processus de fabrication et la mise en œuvre des deux revêtements sont quasi-identiques. Il existe une large palette de couleurs disponibles : rouge brun, rouge vif, orange, jaune, beige, blanc, bleu ou vert… De quoi est composé l’enrobé coloré ? L’enrobé coloré, comme l’enrobé noir classique est composé d’un mélange de graviers, de sables, de fines et de liant, appliqués en une seule couche, pour constituer le revêtement des trottoirs, des allées piétonnes, des cours de particulier… Leurs différentes formules sont d’ailleurs adaptées aux lieux et aux usages des espaces concernés. Couleurs & aspects Pour obtenir un enrobé de couleur, il faut impérativement utilisé un liant clair qui permettra de ne pas masquer le granulat coloré choisi, sauf dans le cas de l’enrobé rouge/brun qui contient un liant noir. Pour renforcer la teinte souhaitée, des pigments peuvent également être ajoutés. Ces pigments proviennent d’oxydes métalliques et sont mélangés au bitume lors de la fabrication. Par exemple, l’enrobé rouge est composé de bitume auquel on ajoute de l’oxyde de fer. Les enrobés, une fois mis en œuvre, forment une surface relativement lisse et homogène. Cependant, il est possible de modifier la rugosité du revêtement en jouant sur la taille des granulats utilisés. Plus les granulats sont volumineux, plus le revêtement apparaîtra rugueux et anti-dérapant. Bien que les enrobés soient considérés comme imperméables, une certaine “porosité” est toutefois possible par la diminution voire l’absence de sable utilisé lors de la fabrication. Le sable ayant des propriétés de compactage, l’absence de ce composant dans la préparation va favoriser la perméabilité du revêtement en créant des “espaces libres” entre les granulats. Ce type de formulation est particulièrement usité pour les autoroutes afin d’éviter la formation de “flaques” pouvant générer des effets d’aquaplaning. Pour plus d’informations sur la composition et les propriétés des revêtements de roulement, vous pouvez consulter notre article : Enrobé, goudron, émulsion, bicouche… quelles différences ? Zoom sur les enrobés colorés Les enrobés colorés sont fabriqués dans des centrales d’enrobage à une température qui oscille entre 130 et 170° C suivant le type de liant. L’enrobé coloré est travaillé à une température inférieure à l’enrobé noir classique. Pour la fabrication des liants clairs, la centrale d’enrobage est dotée d’un circuit d’alimentation spécifique et doit garantir un nettoyage minutieux de ses installations (circuit d’alimentation, malaxeur…) afin d’éliminer tout résidu de bitume noir. C’est pourquoi, des quantités de fabrication minimum sont souvent exigées car la centrale doit en effet vider puis nettoyer la cuve de fabrication afin de créer l’enrobé coloré désiré. Quelles sont ses propriétés ? Résistances & imperméabilité Les enrobés colorés sont imperméables et nécessitent donc obligatoirement de prévoir une gestion des eaux pluviales efficace (gestion des pentes, des écoulements et système d’évacuation). Leurs surfaces sont résistantes et plus ou moins rugueuses, ce qui détermine leurs qualités d’adhérence. La palette de couleur (rouge, beige, jaune, vert, bleu…) leur procure une excellente intégration paysagère. Il n’est pas rare d’employer des couleurs différentes pour distinguer la voirie, des zones piétonnes ou cyclables… Esthétisme & sécurité Les enrobés colorés représentent également une alternative intéressante aux enrobés noirs dans le cadre d’aménagements qualitatifs et dans les secteurs au patrimoine remarquable. Ils sont surtout appréciés pour leur solidité, leur caractère lisse et homogène par rapport aux stabilisés, notamment pour les cyclistes. Les enrobés de couleur sont donc plutôt employés pour les voies de circulations douces car ils s’avèrent salissants (traces de pneu, tâches d’huile ou d’essence…), posant un problème esthétique à moyen terme en cas d’utilisation pour des zones de fort trafic ou de stationnement. L’utilisation de couleurs facilite également la distinction de fonctionnalité entre les espaces et renforce ainsi la sécurité routière. Vieillissement A l’usage, on risque de noter une dégradation de l’aspect du matériau comme pour tout revêtement d’ailleurs : nids de poules et autres déformations dues au gel/dégel, tâches notamment sur les couleurs claires, fissures en cas de végétation trop denses (racines), apparition d’herbes dans les fissures (en bordure de trottoir par exemple…). Entretien Il faut prévoir un nettoyage mécanisé pour conserver le bel aspect de l’enrobé à savoir l’usage d’un nettoyeur à basse pression pour favoriser l’évacuation des particules, poussières et terres qui s’accumulent sur la surface du revêtement. Avec le temps, un désherbage manuel peut également être nécessaire au niveau des bordures. Durée de vie La durée de vie de l’enrobé coloré est liée à la structure mise en place au regard des usages qu’elle supporte. Toutefois, elle reste importante et bien supérieure à d’autres solutions (enduits, sables stabilisés…) puisqu’il faut compter environ 15 à 20 ans pour une couche de roulement. Mise en œuvre Avant la mise en œuvre de la couche d’enrobé, il faut s’assurer de la portance de la structure, vérifier le profil de la voirie (pente de l’ordre de 2 à 3 %) et enfin tenir compte de la gestion des eaux pluviales (regards, caniveaux, gouttières…). L’application de l’enrobé est effectuée en fonction des zones à recouvrir. L’application se fait manuellement, sur les espaces de faible surface, peu accessibles et faiblement sollicités par les véhicules. Pour les grands espaces les enrobés sont réalisés à l’aide d’un finisseur (ou finisher) qui permet de répartir rapidement et de manière homogène le revêtement. La majorité des enrobés sont mis en œuvre « à chaud », la température d’application doit alors être supérieure à 130 °C d’où la nécessité de les appliquer rapidement. La mise en circulation est quasi-immédiate après la mise en œuvre, il est toutefois préférable de prévoir un temps de refroidissement (à cœur) de 24h. La mise en œuvre des enrobés se fait toujours par compactage. Elle doit se faire dans des
août 29, 2017
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Le béton, un revêtement tendance A l’origine, le béton s’emploie pour la construction de bâtiments, c’est le matériau le plus utilisé dans le monde pour la construction d’habitation… Le béton armé (béton de ciment renforcé par de l’acier) permet de construire des édifices solides et pérennes. Ce matériau tendance trouve aujourd’hui de nouvelles applications : en architecture (béton fibré), dans l’aménagement d’espaces urbains (skate parc…), en décoration d’intérieure (béton ciré utilisé au sol, comme plan de travail ou crédence dans les cuisines…). Sachez que le béton (balayé, désactivé ou imprimé) est également un revêtement extérieur résistant, économique et esthétique qui permet de façonner trottoirs, cours, allées ou terrasses… Composition Le béton est un assemblage de matériaux d’origine minérale. Il est constitué d’un mélange de granulats ou d’agrégats (graviers, sables…), d’un liant (ciment, bitume, argile), c’est-à-dire une matière susceptible d’en agglomérer d’autres, d’eau et d’adjuvants qui modifient les propriétés physiques et chimiques du mélange. Le béton fait « prise », c’est-à-dire se solidifie, lors de l’ajout d’eau au liant. Dès lors se forment des cristaux microscopiques, qui quand ils sont suffisamment nombreux entraînent la solidification du ciment. Béton balayé Le béton, matériau tendance, trouve aujourd’hui de nouvelles applications : en architecture (béton fibré nouvelle génération), dans l’aménagement d’espaces urbains (skate parc…), en décoration d’intérieure (béton ciré utilisé au sol, comme plan de travail ou crédence dans les cuisines…). Sachez que le béton (balayé, désactivé ou imprimé) est également un revêtement extérieur résistant, économique et esthétique qui permet de façonner trottoirs, cours, allées ou encore terrasses… Béton désactivé Le béton désactivé est un béton décoratif qui peut être teinté ou non. Ce revêtement est posé manuellement, comme une dalle traditionnelle, puis l’on procède à la pulvérisation d’un produit désactivant sur la surface fraîchement posée, pour neutraliser sa prise. Un rinçage à haute pression permet alors, après élimination de la laitance, de faire apparaître en surface les gravillons qui le constituent. Le rendu varie suivant le type et la couleur des gravillons choisis. Pour la couleur, le liant fait également varier celle-ci (ciment gris, liant clair…), ainsi qu’un colorant potentiel qui peut être ajouté. Pour protéger le béton et donner un aspect brillant, une couche de protection peut être appliquée en finition. Pour en savoir + sur l’application du béton désactivé, vous pouvez consulter l’article “Réalisation d’allées en béton désactivé” ou toutes les phases du chantier y sont détaillées. Béton imprimé Le Béton imprimé consiste à appliquer une empreinte sur un support encore frais (chape de béton traditionnelle ou ragréage spécial impression) de manière à imprimer un motif en relief. Ce procédé représente une alternative intéressante aux enrobés en matière de coût et de diversité. Le choix des dessins des empreintes est très varié et permet tous types de décors : pierres, pavés, briques, bois ou motif figuratif… Le béton imprimé offre également un large choix de couleur et la possibilité d’obtenir des nuances. Propriétés du béton en qualité de revêtement Avantages + Longue durée de vie & solidité+ Surface carrossable+ Forte résistance au trafic+ Facile d’entretien+ Résistance aux intempéries+ Revêtement antidérapant+ Reste frais en période estivale+ Grand choix de rendus matières et de couleurs Limites – Revêtement imperméable– Nécessite un calepinage et un coffrage– Mise en œuvre délicate en cas de forte pente– Plus salissant que l’enrobé noir– Nécessite plusieurs jours de séchage– Difficulté de déconstruction Contactez notre équipe pour votre projet
juillet 11, 2017
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Enrobé, goudron, émulsion, bicouche… quelles différences ? On utilise souvent à tort et à travers les mots “enrobé”, “goudron”, “bitume”, “asphalte” pour désigner le revêtement qui recouvre les routes, les trottoirs ou les zones de stationnement. Mais si vous êtes attentif, vous remarquerez que ces différentes surfaces ne possèdent pas exactement le même aspect, la même texture. Bien évidemment, l’usage, les conditions climatiques et le temps altèrent les couches de revêtement et celles-ci, à l’usure, ont tendance à se ressembler… mais vous allez apprendre que “enrobé”, “goudron”, “émulsion”, “bitume” ne désignent pas un seul et même revêtement de surface et que des différences notables existent. Éléments de définition Le goudron Le goudron de houille, appelé aussi simplement goudron, provient de la distillation de la houille. De couleur marron à noire, ils est très visqueux voire solide. Dans le langage courant, on le confond souvent avec les enrobés bitumineux. Cette confusion est due à l’invention du tarmacadam, ancêtre des revêtements routiers, qui était fabriqué à l’origine avec du goudron. Le tarmacadam est lui-même confondu avec le macadam qui n’est qu’une technique d’empierrement sans goudron ni bitume. Le goudron n’est plus utilisé aujourd’hui, il a été remplacé par le bitume dans les enrobés et par l’émulsion de bitume dans les enduits. Le goudron provient également de poix modifiée de résineux, en particulier le goudron de pin, issu de la distillation destructive de bois et des racines de pin. Les enrobés Pour commencer, sachez qu’un enrobé se compose d’un mélange de graviers, de sables, de fines et de liant, appliqués en une seule couche. Le choix du liant déterminera le type d’enrobé. Différentes formulations sont disponibles afin de s’adapter aux lieux et aux usages (voirie, trottoirs, pistes cyclables, terrasse…) et le rendu sera plus ou moins rugueux en fonction de la taille du granulat utilisé. > Le liant bitumineux, utilisé pour les “couches de roulement” est un dérivé du pétrole, il est donc généralement noir. Toutefois, l’ajout de pigments minéraux (le plus souvent des oxydes métalliques) permet d’obtenir d’autres teintes (rouge, brun, bleu…). Lors de sa mise en œuvre, l’enrobé est toujours compacté (contrairement à l’asphalte) et doit se faire dans des conditions climatiques clémentes (pas par grand froid ou sous une pluie battante). Après son application à chaud, la mise en circulation est quasi-immédiate (compter environ 3 à 4 h de temps de repos et de refroidissement). L’enrobé bitumineux est donc un revêtement économique et carrossable, c’est pourquoi ce matériau est très souvent utilisé pour les chaussées, trottoirs et cours de particuliers. > Sachez qu’il existe également des liants naturels, végétaux, qui ne contiennent donc pas de pétrole, ils sont le plus souvent de couleur ocre. Ceux-ci sont encore très peu utilisés car très onéreux. En outre, ces liants ne possèdent pas les mêmes propriétés et en particulier la même résistance, d’où une utilisation réservée aux espaces à faible circulation (chemin, voies piétonnes, pistes cyclables…). A noter : On parle parfois d’enrobé à chaud ou à froid, il faut savoir que dans la majorité des cas, l’enrobé se pose à chaud, cependant, celui-ci peut dans de rares cas être mis en œuvre à froid notamment pour réparer les chaussées qui présentent des malformations (nids de poule). Toutefois, cette utilisation doit se limiter à son rôle de “rustine” et non pour recouvrir de larges surfaces. L’enrobé à froid est souvent réservé au petites structures, aux services techniques qui ne possèdent pas les engins et la matériel adapté pour appliquer l’enrobé à chaud, d’autant qu’il ne nécessite pas une application immédiate et rapide… Enrobé noir (liant bitumineux) Enrobé brun (liant bitumineux) Enrobé ocre (liant végétal) Les enduits Contrairement aux enrobés, les enduits dits “superficiels” ne sont pas fabriqués dans des centrales à chaud mais dans des raffineries. Ils se composent de deux couches superposées (1 fine couche d’émulsion de bitume qui fait office de liant ou de colle et 1 couche de graviers de 1 à 2 cm) et cette opération peut être ou non répétée d’où l’appellation monocouche, bicouche, tricouche. Le liant utilisé se nomme “émulsion de bitume”, celui-ci est composé de bitume et d’eau. Les enduits possèdent des caractéristiques similaires aux enrobés, notamment leur imperméabilité et leur “carrossabilité”, cependant, ils sont beaucoup plus rapides à mettre en œuvre, moins coûteux et offrent un aspect plus “naturel” puisque seuls les graviers apparaissent. L’existence d’un large choix de graviers permet en outre d’offrir une palette de rendus esthétiques très étendue. En contrepartie, ce type de revêtement moins résistant durera moins dans le temps mais d’un autre côté, celui-ci sera plus facilement renouvelable, “rechargeable”. Allée en enduit (graviers Fontaine Simon) Cour en enduit (graviers Muneville) L’asphalte L’asphalte est une roche calcaire imprégnée de bitume (résidu d’anciens gisements de pétrole présent à l’état naturel) qui était couramment utilisée il y a une quarantaine d’années dans la construction des trottoirs et chaussées. Son usage tend à disparaître au profit de l’enrobé qui est aujourd’hui plus robuste, plus malléable et plus facile à appliquer. Comment choisit-on le revêtement ? Le choix du revêtement le mieux adapté, outre les considérations esthétiques, doit se faire en prenant en compte les contraintes d’aménagement de l’ouvrage et dans le respect du milieu naturel ou urbain dans lequel il va s’intégrer. Les critères de sélection reposent donc sur l’adéquation entre les propriétés du matériau utilisé et les contraintes de conception, de réalisation, d’usage et d’entretien de l’ouvrage tout en restant compatible avec les objectifs de coût. Les propriétés du revêtement sont nombreuses, il faut connaître ses caractéristiques physiques et mécaniques (perméabilité, gélivité…), sa résistance aux altérations d’usage ou climatiques, mais aussi l’aspect sécuritaire et le confort (adhérence, planéité, nuisances acoustiques…). Contactez notre équipe pour votre projet
mai 30, 2017
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L’aménagement d’une cour en bicouche Les enduits superficiels, encore méconnus et trop peu utilisés, représentent pourtant un revêtement idéal pour habiller certaines cours et/ou un chemins desservant une propriété. Ces enduits, composés d’une ou deux couches de graviers de 1 à 2 cm, offrent des caractéristiques similaires aux enrobés mais présentent de nombreux avantages. Ce type de revêtement permet un rendu plus naturel, offre une large palette de finitions suivant le style de graviers choisi et représente un budget moins élevé. Une cour en bicouche finition rouge/brun A l’origine, le client nous a contacté pour achever sa cour, un espace de stationnement et le chemin d’accès menant à son habitation. En effet, le tracé de la cour et des allées était déjà dessiné. Après mûre réflexion et suite aux conseils prodigués par notre conducteur de travaux, le client a opté pour un revêtement bicouche avec graviers de Muneville (origine Manche). La couleur choisit contraste avec le charme des pierres de la maison et le gravier offre un aspect esthétique naturel. Chemin d’origine Chemin avec enduit bicouche Les différentes phases du chantier Le tracé global de la cour et du chemin convenant au propriétaire, certaines étapes comme le terrassement, la création de la structure de la cour et la pose d’un géotextile n’ont pas été nécessaires. La première équipe de préparation s’est donc chargée directement de l’agrandissement des virages en empierrement (pour faciliter la circulation des véhicules), du réglage des pentes et du reprofilage de l’ensemble de la surface à recouvrir. Cette dernière opération, cruciale pour la pose du revêtement, consiste à régler les pentes de voirie pour faciliter l’écoulement des eaux pluviales et à homogénéiser l’ensemble de la couche d’assise afin d’en assurer une parfaite stabilité. Avantages & limites d’un enduit bicouche Avantages du revêtement + Revêtement antidérapant+ Surface carrossable+ Facile d’entretien+ Revêtement simple et rapide à mettre en œuvre+ Solution économique+ Revêtement au rendu naturel Contraintes du revêtement – Revêtement imperméable– Durée de vie limitée (env. 10 ans suivant la densité du trafic)– A l’usage, désolidarisation des granulats présents dans le revêtement d’où une éventuelle perte d’adhérence Contactez notre équipe pour votre projet